I use the multi-site architecture of Scality RING at Unitel which is spread across three sites. We use the multi-site setup, and the scaling is planned with the addition of servers when needed.
I evaluate the simplicity of managing large volumes of data via Scality RING's user interface as limited because the user interface is mainly used for administration or monitoring purposes. We use it very little for actual data management. Data management is mostly done via the S3 APIs, not the UI.
I evaluate Scality RING's ability to handle workloads for backup by noting that backup is actually the main type of data we currently store on our RING—client backups through various backup solutions, including Veeam, CommVault, and Atempo. It works very well—we have no performance issues, whether during backup or restore phases. Regarding AI, we don't currently use RING for those needs, simply because our current deployment isn't suited to the performance requirements that AI demands. We do know there is a version of RING with faster disk support that makes this possible. If we ever need it in the future, we know we can evolve toward a RING deployment that's suited to AI needs.
I would improve Scality RING by bundling the Operating System with RING and modernizing the graphical interfaces. As for areas for improvement—if I had to summarize—a technical aspect would be the Operating System part, which today isn't really covered by Scality RING, whereas it is with Artesca. It would be a real advantage for customers to have a bundle that includes both the Operating System and Scality RING, with an install and maintenance model handled by Scality. Secondly, perhaps a more cosmetic point—the graphical interfaces could be modernized a bit. There's been work done on Artesca; maybe it should be extended more to RING. I believe that should come with version 10, so I'm not too concerned.
I find RING's cyber resilience against ransomware threats somewhat complicated to assess. The product itself offers sufficient protection, and the features provided via S3 allow you to protect against this kind of attack—provided you implement these features, such as object lock with retention and everything that goes with it. If I had to identify an area for improvement, it would be the OS part—but that doesn't necessarily concern RING, unlike Artesca, which comes bundled with an OS. There's been real work done by the Scality teams to secure the system layer in Artesca. It didn't influence us. We know the product and what needs to be implemented to protect data, and it's part of the best practices we also pass on to our clients.
I see a return on investment with Scality RING when considering price per GB for storing backups, files, archives, videos, images, and so on, because it's clear that the Scality solution has a fairly low cost compared to competitors using NAS-type technologies or other types of NAS storage. Based on the prices we currently charge our customers per GB, we're very well positioned in the market, and still have an attractive ROI.
I think RING's ability to maintain predictable costs while providing scalable storage solutions impacts our budget by allowing us to pay only for capacity. If it grows, it's because we've sold disk space, so we'll grow in capacity and maintain our ROI. The more capacity we add, the more the costs decrease, and the more interesting our ROI becomes.
I find that using Scality RING with just one administrator for our enterprise-scale data needs is sufficient. If you have one person working on Scality RING and doing what's needed, in my opinion, that's more than sufficient—maybe even overqualified—for an enterprise-level setup. The product is generally very stable. If the initial implementation followed best practices, the OS is properly installed, and you don't make too many changes, then keeping the system running operationally only requires a few maintenance tasks a year, such as patch management. Beyond that, it's mostly minimal operations—creating buckets, deleting buckets, creating accounts. It doesn't require much time.
The advice I would give to other organizations considering Scality RING is to first make sure your company has a sufficient level of expertise in the Linux ecosystem. It's still a complex product to implement and maintain, and it requires a certain level of rigor. If you don't have that Linux expertise in-house, operating the product properly could be challenging. However, if that part is covered, then honestly, I'd say go for it—eyes closed. It works.
On a scale of 1-10, I rate Scality RING a nine.
Foreign Language: (French)
Quel est notre cas d’usage principal ?
J’utilise l’architecture multi-sites de Scality Ring chez Unitel, répartie sur trois sites. Nous utilisons cette configuration multi-sites, et l’extension est prévue avec l’ajout de serveurs lorsque nécessaire.
J’évalue la simplicité de gestion de gros volumes de données via l’interface utilisateur de Scality RING comme limitée, car l’interface est principalement utilisée à des fins d’administration ou de supervision. Nous l’utilisons très peu pour la gestion des données proprement dite. Celle-ci est surtout effectuée via les API S3, et non via l’interface.
J’évalue la capacité de Scality RING à gérer des charges de travail de type sauvegarde en notant que la sauvegarde est en fait le principal type de données que nous stockons actuellement sur notre RING — des sauvegardes clients via diverses solutions comme Veeam, CommVault et Atempo. Cela fonctionne très bien — nous n’avons aucun problème de performance, ni pendant les sauvegardes ni pendant les restaurations. Concernant l’IA, nous n’utilisons actuellement pas RING pour ces besoins, simplement parce que notre déploiement actuel n’est pas adapté aux exigences de performance qu’impose l’IA. Nous savons qu’il existe une version de RING avec un support de disques plus rapides qui permettrait cela. Si un jour nous en avons besoin, nous savons que nous pourrons faire évoluer notre déploiement vers une version adaptée aux besoins en IA.
Qu’est-ce qui a le plus de valeur ?
Les fonctionnalités que je préfère dans Scality RING sont principalement la partie S3, qui selon moi est la fonctionnalité la plus remarquable et la principale raison pour laquelle nous utilisons Scality.
L’impact positif que Scality RING a eu sur notre organisation repose sur deux éléments. D’abord, l’entreprise elle-même — la collaboration avec les équipes a été excellente depuis le début. Ensuite, le produit en lui-même répond parfaitement aux besoins pour lesquels nous l’avons mis en place. Par rapport à d’autres concurrents où le support ou les conseils étaient moindres, cela a été un gros avantage.
Qu’est-ce qui doit être amélioré ?
J’améliorerais Scality RING en intégrant le système d’exploitation avec RING et en modernisant les interfaces graphiques. En résumé, un aspect technique à améliorer serait la partie système d’exploitation, qui aujourd’hui n’est pas vraiment prise en charge par RING, contrairement à Artesca. Ce serait un vrai plus pour les clients d’avoir un bundle incluant le système d’exploitation et RING, avec un modèle d’installation et de maintenance géré par Scality. Ensuite, peut-être un point plus cosmétique — les interfaces graphiques pourraient être modernisées. Des efforts ont été faits côté Artesca, et cela pourrait être étendu à RING. Je pense que cela viendra avec la version 10, donc cela ne m’inquiète pas trop.
J’estime que la cyber-résilience de RING face aux menaces de ransomware est un peu difficile à évaluer. Le produit offre une protection suffisante, et les fonctionnalités disponibles via S3 permettent de se prémunir contre ce type d’attaque — à condition de les activer, comme le verrouillage d’objets avec rétention, etc. Si je devais pointer une amélioration, ce serait la partie OS — mais cela ne concerne pas forcément RING, contrairement à Artesca, qui inclut un OS. Les équipes de Scality ont fait un vrai travail de sécurisation de la couche système dans Artesca. Cela ne nous a pas influencés. Nous connaissons le produit et savons ce qu’il faut mettre en œuvre pour protéger les données, et cela fait partie des bonnes pratiques que nous transmettons aussi à nos clients.
Depuis combien de temps utilisez-vous la solution ?
J’utilise Scality RING depuis 2015.
Que pensez-vous de la stabilité de la solution ?
Je trouve que Scality RING est très stable car il permet de nombreuses opérations de maintenance sans interruption de service, et même en cas de défaillance applicative, l’accès au service reste disponible, donc les clients peuvent toujours accéder à leurs données.
Que pensez-vous de l’évolutivité de la solution ?
J’évalue l’évolutivité de Scality RING en fonction de mon expérience avec les versions 6, 7, 8 et maintenant 9. Je note qu’il y a eu beaucoup de progrès depuis la première version que j’ai déployée. Dans mon contexte d’utilisation, je suis globalement très satisfait. Tous les clients ne ressentiront peut-être pas la même chose. Chacun a son propre contexte d’utilisation et son niveau d’expertise, ce qui influe sur la compréhension et la maintenance. Je n’ai jamais eu de problèmes avec l’évolutivité. Nous avons effectué des mises à jour de version sans difficulté — que ce soit pour l’OS ou pour Scality RING lui-même.
Il y a toujours des marges de progression. Je ne dirais pas que tout a été fluide à 100 % à chaque fois — parfois, il a fallu déboguer un peu — mais nous avons toujours réussi à aller au bout. L’important, c’est que nous n’avons jamais impacté la qualité de service de nos clients.
Comment évaluez-vous le support client et technique ?
J’évalue le support client et technique de Scality RING très positivement, car chaque fois que j’ai été en contact avec eux, les gens étaient agréables et faisaient tout leur possible pour nous aider. Les rares fois où j’ai eu besoin de leur support, cela s’est très bien passé. Je n’ai rien de négatif à dire. Cela ne veut pas dire que tous les clients ont eu la même expérience, mais en ce qui me concerne, je n’ai jamais eu de mauvaise expérience.
Je donnerais au support une note de 10 sur 10, uniquement sur la base de mon expérience personnelle. Je n’ai rien à reprocher. J’ai toujours reçu des réponses dans les délais, techniquement pertinentes, et il y avait un suivi — les gens nous rappelaient pour vérifier que tout allait bien et si le ticket pouvait être clôturé. De ce point de vue, aucun souci.
Comment évalueriez-vous le support ?
Positivement
Quelle solution utilisiez-vous auparavant et pourquoi avez-vous changé ?
Je n’utilisais pas d’autre solution avant Scality RING ; nous avons choisi Scality dès le départ pour les raisons évoquées plus haut — notre équipe connaissait déjà le produit, et nous faisions confiance à Scality pour répondre à nos besoins présents et futurs.
Comment s’est passée l’installation initiale ?
Je trouve que l’installation initiale de Scality RING a été à la fois simple et complexe : simple car nous connaissions bien le produit depuis des années, complexe car l’implémentation que nous avons choisie pour notre cas d’usage nécessitait un peu plus de travail. Globalement, cela s’est très bien passé — nous n’avons eu aucun problème.
Je n’ai pas constaté d’économies grâce au modèle "pay-as-you-grow" car nous ne l’utilisons pas actuellement — sauf erreur, ce modèle s’applique à Artesca et non à RING.
Qu’en est-il de l’équipe d’implémentation ?
Pour Scality RING, tout le travail préparatoire a été réalisé par nos équipes internes, et la partie installation a été effectuée par l’ingénieur Scality qui nous a assistés lors du déploiement.
Quel a été notre ROI ?
Je constate un retour sur investissement avec Scality RING en tenant compte du prix par Go pour stocker des sauvegardes, des fichiers, des archives, des vidéos, des images, etc., car il est clair que la solution Scality présente un coût assez bas par rapport aux concurrents utilisant des technologies de type NAS ou autres. En fonction des tarifs que nous appliquons actuellement à nos clients par Go, nous sommes très bien positionnés sur le marché, avec un ROI toujours attractif.
Je pense que la capacité de RING à maintenir des coûts prévisibles tout en offrant une solution de stockage évolutive a un impact sur notre budget : on ne paie que pour la capacité. Si elle augmente, c’est que nous avons vendu de l’espace disque, donc nous augmentons notre capacité tout en maintenant notre ROI. Plus on ajoute de capacité, plus les coûts diminuent, et plus le ROI devient intéressant.
Quelles autres solutions avez-vous évaluées ?
Lors de notre réflexion, nous avons testé des solutions concurrentes, notamment chez IBM et Dell EMC, il y a dix ans. Nous avons choisi Scality car c’était un produit développé par des équipes francophones — un critère important pour l’entreprise dans laquelle je travaillais. Techniquement parlant, le produit répondait parfaitement à nos besoins. Ce sont les deux critères principaux qui ont motivé notre choix.
Quels autres conseils puis-je donner ?
Je constate que l’utilisation de Scality RING avec un seul administrateur pour nos besoins de données à l’échelle entreprise est suffisante. Si une personne gère Scality RING et fait ce qu’il faut, c’est plus que suffisant — peut-être même surdimensionné — pour un environnement d’entreprise. Le produit est généralement très stable. Si la mise en œuvre initiale suit les bonnes pratiques, que l’OS est bien installé et que l’on ne fait pas trop de modifications, alors maintenir le système opérationnel ne nécessite que quelques tâches de maintenance par an, comme la gestion des correctifs. Au-delà, ce sont surtout des opérations minimales — création/suppression de buckets, création de comptes. Cela ne prend pas beaucoup de temps.
Le conseil que je donnerais à d’autres organisations envisageant Scality RING serait d’abord de s’assurer que votre entreprise dispose d’un bon niveau d’expertise dans l’écosystème Linux. C’est un produit complexe à implémenter et à maintenir, et il demande une certaine rigueur. Si vous n’avez pas cette expertise en interne, cela peut être difficile à exploiter correctement. Mais si ce point est couvert, honnêtement, je dirais : foncez les yeux fermés. Ça marche.
Sur une échelle de 1 à 10, je donne à Scality RING la note de 9.
Cloud public, privé ou hybride — quel fournisseur utilisez-vous ?
Autre